D’ici le 1er juin 2024, toutes les personnes impliquées dans le procès Janel Grant auront répondu au tribunal.

Sur la base des documents officiels déposés au tribunal, les défendeurs dans le procès en cours de Janel Grant devront répondre aux dates suivantes :

* John Laurinaitis (14 mai 2024)
* Vince McMahon (24 mai 2024)
* World Wrestling Entertainment (1er juin 2024)

À l’origine, on croyait qu’ils devraient tous répondre d’ici la mi-mai mais il y a du nouveau dans le dossier que vous pouvez lire plus bas.

Vince McMahon a déposé une requête afin de demander que le procès quitte le domaine de la cour de justice pour passer en cas d’arbitrage privé malgré le fait qu’il y ait une action en justice contre lui, la WWE et John Laurinaitais. L’argument numéro un de Vince McMahon d’avoir l’arbitrage est en raison que Janel Grant et McMahon ont signé un accord de non-divulgation de leur relation.

Le procédé en arbitrage peut ainsi pondre un verdict en faveur d’un ou l’autre, mais n’aura aucune sanction pénale. Dans cette requête, Vince McMahon décrit cette histoire comme de la  »pure fiction » afin d’avoir l’attention du public. Il maintient qu’il s’agissait d’une relation consentante entre les deux, mais que toutes les histoires d’agression sexuelle, de trafic sexuel ou bien d’avoir déféqué sur elle seraient fausses. Vince McMahon promet de dévoiler la lettre d’amour et d’autres éléments pour se défendre.

Mais ce n’est pas tout, Vince McMahon explique aussi que Janel Grant n’a pas respecté la disposition de confidentialité, alors il se réserve le droit de demander une indemnisation monétaire d’un million de dollars. Il s’agit du montant que Vince McMahon lui a déjà payé pour garder cette histoire privée, mais il lui réclame l’argent en vertu de l’accord. La requête précise aussi que d’autres dommages et intérêts pourraient être réclamés.

Le tribunal ne s’est pas encore prononcé sur cette requête. Ce sera à surveiller si Vince McMahon arrive oui ou non à déplacer cette accusation en arbitrage privé et ainsi éviter que le reste de l’histoire soit publique.